On ne naît pas métalleux·se, on le devient. Les sonorités abrasives et l’imagerie terrifiante agissent comme un repoussoir qui semble crier « toi, étranger, passe ton chemin ». Comme dans toutes les sociétés secrètes, l’apprentissage se fait progressivement. Il faut apprivoiser la bête. Lorsqu’un·e chercheur·euse la capture, elle devient un objet d’étude à part entière.
Pourquoi cette musique violente fait-elle du bien ? Quelle est la place des femmes dans cette communauté ? Peut-on conjuguer blasphème et dévotion ? Le Métal fait-il encore peur ?
8 chercheur·euse·s livrent leur regard sur la culture metal.
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